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Revue spoilante de Star Trek Sans Limite

!!! La fiche du film présente sur le site étant déjà 100% spoilante, je vous remet en gerde ici, si vous lisez cet article, vous aurez été totalement spoilés, donc ne le lisez qu'à bon escient !!!

illustrationL'action débute le 966 ème jour de la mission de cinq ans de l'Enterprise, Aux abords d'une nébuleuse et non loin d'une station spatiale d'importance, l'Enterprise croise aux abords d'une planète où James Kirk est en mission diplomatique devant le Conseil d'une race ancienne.

Sorti des artefacts recueillis au gré des missions antérieures d'exploration de Starfleet et en gage de bonne volonté et de paix, James Kirk remet au Chef du Conseil un objet ancien qui, manifestement va être la cause d'un grave malentendu. Les choses tournent mal. Accusé par les Représentants présents d'avoir insulté le Conseil avec cet objet, Kirk se voit obligé de défendre sa peau contre ses hôtes, devenus ses agresseurs.

Sous le poids du nombre de ses adversaires, il s'échappe des lieux, qui par leur forme, rappelleront à tous les fans la configuration du tribunal Klingon de Star Trek Terre Inconnue, en se faisant téléporter, non sans emmener avec lui un ou deux de ses agresseurs. Le Capitaine étant en jeu, c'est Scotty qui se charge de la téléportation d'urgence.

 

Une fois débarassé de ses agresseurs, Kirk remet à Spock l'objet en question et lui demande de la réintégrer dans le stock d'objets récoltés au cours de la mission par l'équipage. L'ambiance est pesante pour le Capitaine, toute cette agitation semble devenue routinière pour lui et la scène le montrant ensuite seul face à sa garde robe traduit cette lasitude.

Cette impression se poursuit avec la scène du bar, où l'on retrouve Kirk se requinquant avec une boisson que même Bones semble déconseiller et qu'il remplace avantageusement par un whisky de bien meilleure tenue. C'est la scène du trailer avec cette ligne de dialogue de Kirk : « Mon père est entré à Starfleet parcequ'il y croyait ! Moi je suis arrivé ici par défi, sur un coup de tête ! » Cette scène n'est pas sans rappeler la scène de The Cage, entre le Docteur Pipper et Christoppher Pike, qui s'interrogeait lui, sur la charge de Capitaine et son pouvoir décisionnaire de vie ou de mort sur les membres d'équipage en les affectant à des missions dont ils ne reviendraient peut-être pas. Ici l'interrogation est plus égocentrée mais tout aussi valable, si l'on se réfère au background du personnage de Kirk, tel qu'il fut décrit dans les deux films précédents.

 

L'Enterprise en tarde pas à être en approche de la Station Yorktown. On mesure évidemment les différences d'approche entre la série originelle et ses dérivés précédents et le reboot en découvrant cette structure. Bien plus immense que tout ce qui a pu être vu en matière de constructon fédérée auparavant dans la franchise, d'une belle audace, le concept même de cet ouvrage est à mettre au crédit du film et des auteurs. On est dans de la Science Fiction prospective, même si, sur 2 siècles, on a du mal à imaginer de tels bouleversements dans nos sociétés que l'on puisse si vite aboutir à de tels résultats. Pour le coup, l'Utopie devient presque trop importante, mais la crédibilité de l'ensemble y gagne. Là où l'entrée en spatiodock de l'Enterprise dans Star Trek A la Recherche de Spock était majestueuse, elle devient ici vertigineuse.

C'est l'occasion de passer un petit plan sérré sur la relation amoureuse entre Uhura et Spock, Manifestement, la rupture est consommée et Uhura se voit refuser le geste de rendre à son ex-petit-ami la pierre montée en collier lui venant de sa mère et qu'il lui avait offert en gage. Bones fait evidemment son apparition et c'est le début d'un binome entre lui et le vulcain, qui parsemera le film de scenettes parfois sarcastiques, parfois plus profondes. Car c'est, mais j'y reviendrai, une des caractéristiques intéressantes du film, les personnages vont être séaprés et devoir fonctionner en binômes, et pas toujours ceux que l'on attend.

 

La légèreté fait vite place à plus de gravité. Spock est attendu par deux dignitaires vulcains et il semble que leur présence soit annonciatrice de nouvelles graves. C'est aussi à cet instant que l'on découvre la fille et le compagnon de Sulu, dans une scène courte et volontairement tournée de loin, sous le regard attendri de Kirk, une façon simple et élégante d'aborder un sujet qui a pourtant fait polémique alors qu'il ne représente qu'une facette de plus dans la philosophie d'acceptation et de progrès qu'à toujours porté la Franchise depuis ses débuts, On ne peut à la fois reprocher le manque de message et hurler au loup dès qu'il y en a un, surtout que celui-ci s'engouffre subtilement dans une faille laissée ouverte par Star Trek Generations, où certes, on découvrait Demora, la fille de Sulu, mais où les informations concernant son couple avait été complètement passées sous silence. Les fans ont souvent reproché au reboot de faire dans la grosse ficelle, celle-ci est bien tirée, il faut le souligner. Tout comme la nouvelle du décès de l'Ambassadeur Spock, qui se fera sans ligne de dialogue, par le simple jeu de Zachary Quinto, qui, on le sait, avait lié des liens solides avec Leonard Nimoy et a vraiment toujours montré sa gratitude envers son prédéssésseur et le rôle qu'il lui a transmis, quelquesoit les reproches que les fans les plus durs aient pu émettre vis à vis de l'implication de Leonard Nimoy dans le reboot, il semble évident qu'au moins, en ce qui concerne Quinto, son influence reste majeure.

 

Sur ces considérations, arrive un vaisseau en perdition emettant un message de détresse aux abords de la station. Son « Capitaine » semble  être encore sous le coup d'un stress évident, se traduisant d'une façon... peu commune. Elle est rapatriée à bord de Yorktown, où elle est entendue par l'Amiral Paris et James Kirk, qui va evidemment proposer les services de l'Enterprise pour aller récupérer les membres de l'équipage extra-terrestre, victimes d'une grave avarie et esseulés sur une planète inconnue à l'intérieur de la nébuleuse voisine.  On note que cette race étant inconnue de la Fédération, l'utilisation du traducteur universel laissant un temps de réponse est judicieusement employée.  Du détail certes, mais tout de même.

Cette nébuleuse ne laisse passer aucun signal et les données sont nulles . L'amiral semble douter des motivations de Kirk à désirer quitter le Commandement pour réintégrer les rangs de Starfleet sur Terre, elle le sent épuisé et rongé par la routine, ele lui fait remarquer que même si,sur sa station, on construit le nouveau fleuron de la flotte, après une discussion en sous-entendus, elle laissera l'Enterprise prendre en charge cette mission et refuse la proposition de Kirk, de laisser le commandement provisoirement de l'Enterprise à Spock.

Dans la scène du turbolift, Kirk annonce à Spock qu'àprès cette mission ils devront s'asseoir et discuter, ce à quoi le Vulcain répond qu'il a lui aussi des choses à partager, Le discours de l'Amiral semble trotter dans l'esprit du Capitaine qui cherche à s'appuyer  sur son officier scientifique.Le vaisseau pénètre la nébuleuse, ils sont désormais dans l'inconnu, leur sujet de prédilection. On note la présence de nombreux astéroïdes et d'un orage magnétique, non sans rappeler celui de la Nébuleuse Mutara dans star Trek La Colère de Khan. Même l'ambiance intérieure du vaisseau fait songer à ce passage. La planète de classe M recherchée est vite en vue et l'Enterprise est en approche.

 

Chekov repère assez vite un vaisseau en approche, sans pouvoir en distinguer les caracteristiques, (un petit echo de la scène de Star Trek 3, avec l'oiseau de proie Klingon occulté), Sans réponse à leurs appels, le Capitaine demande alors un zoom sur le vaisseau qui se révéle en fait être un nuage de miliers de petits vaisseaux de déplaçant de concert, tel un banc compact. Il regarde l'extra-terrestre receuillie sur Yorktown, il sent qu'elle n'a pas dit toute la vérité, elle semble horrifiée de ce qui va suivre. Malgrès l'ordre de lever les boucliers, le mode d'attaque semble les rendre inopérants, en effet les milliers de vaisseaux vont au contact, traversant la coque de l'Enterprise et le transperçant de toute part, Malgrè le feu nourri, le nombre semble leur donner un avantage irréversible.

Kirk donne l'odre de distorsion mais le banc ennemi, intelligent, s'en pernd déjà aux pylones des nacelles. Elles seront vite détachées du reste du vaisseau, le condamnant à la vitesse d'impulsion, pus à s'immobiliser. Léquipage se prépare à être abordé. Le rythme est rapide mais par son ambiance lumineuse, la suite de scènes suivantes decrivant l'assaut me fait penser à un mélange de l'ambiance de l'assimilation Borg de l'Enterprise E dans Premier Contact et à l'assaut par les Rémiens dans Nemesis, avec, bien entendu, iune mise en secène de Justin Lin…

C'est lors de cet abordage que l'on apperçoit pour la première fois le personnage antagoniste du Film, Krall, dont on ne sait rien encore. Sa présence sur l'Enterprise semble indiquer qu'il attendait cette occasion et que tout ceci était un piège. Son but est vite connu, le fameux objet ayant déclenché la colère des représentants devant lesquels se présentait Kirk au début du film. Sa présence a du fuiter et Krall a du metre au point le stratagème du vaisseau en perdition pour attirer l'Enterprise ici. Manifestement, il connaît les mœurs de ses adversaires. Kirk laisse les commandes à Sulu et se fixe désormais un seul but : récupérer le dit artefact pour en priver son agresseur.Bones et Spock, qui progressent ensemble dans les couloirs de l'Enterprise sont un moment séparés, laissant la place à une petite scène entre Bones et un membre de l'équipage bléssé, qui rappellera par sa conception, celle de Picard et de l'enseigne qu'il achèvera durant son assimilation dans Premier Contact, la mise à mott en moins, « I'm a doctor », nous rappellerait surement ce bon Mac Coy...

Kirk se retrouve face à Krall et l'affrontement est très physique, La remise en route des moteurs d'impulsion par Scotty donnera un avantage à Kirk qui s'emparera de l'objet tant convoité .Furieux, Krall ordonne un nouvel assaut, cette fois, il vise le destruction complète du vaisseau ! Mac Coy et Spock se retruovent éjectés à bord du turbolift et sont accrochés par un vaisseau ennemi. Chekov annonce que les possibilités sont desepérées et après la mise au point de Sulu par intercom, Kirk donne l'ordre d'abandonner le navire.  Kirk va devoir mettre l'artefact en lieu sur, il demande de l'aide à un membre d'équipage…

 

La soucoupe est maintenant séparée du reste du vaisseau et se dirige droit sur la planète, affublée d'une partie du pylone central. L'équipage abandonne le navire, Beaucoup de pertes, des deux cotés, Krall n'hésitant pas à sacrifier ses hommes. Là où Star Trek A La Recherche de Spock nous avait montré une destruction rapide, et plutôt digne de l'enterprise, il est ici torturé, mis en pièces, et achevé à petit feu sans pitié.Kirk et Uhura s'evertuent à détacher le pylone pour donner une chance à la soucoupe d'être à nouveu manoeuvrable avant l'entrée dans l'atmosphère et Krall, persuadé que Kirk détient ce qu'il recherche, le poursuit et finit par récupérer la boite contenant le fameux objet. Uhura est ejectée dans le pylone avec Krall et la soucoupe finit par aller s'écraser sur la planète.

Krall se rend compte que Kirk l'a leurré : la boite est vide !! Alors que tout le personnel de la passerelle finit par quitter le navire dans des chaloupes de secours. La soucoupe sombrera un peu à la façon de celle de l'Enterprise D dans Génarations avec un zeste de l'ecrasement de l'USS Vengeance sur San Fransisco dans Into Darkness. Comme George Kirk avait gardé les yeux rivés sur l'écran pendant qu'il envoyait le Kelvin s'écraser sur le Narada, James contemple la descente vertigineuse de son vaisseau vers sa fin ineluctable et quitte la soucoupe en dernier, Scotty, lui, inspiré certainement par la méthode de Khan, s'est ejecté à bord d'une…. torpille qui finira sa course au bord d'un ravin sans fond, comme vu dans le trailer.

 

Voilà, l'Enterprise est détruit, l'équipage est disséminé sur la planète, le décor est posé. Nous sommes à seulement 33 minutes de pellicule. C'est plutôt intense.Que peut-on retenir de ce premier quart du film ? Qu'enfin, l'Enterprise est sur sa mission de cinq ans ! Une promesse que n'avait pas tenu Into Darkness et qui avait contribué, avec la réinterprétation du personnage de Khan, à braquer les fans contre la suite du reboot qui, pour les plus anciens, ne les avait déjà pas ou peu convaincu. J'en parle d'autant plus librement que j'étais de ceux-là, à chercher la petite bête là où, visiblement, il fallait élargir le propos et critiquer de façon plus constructive que canonique.

Personnellement je trouve le début du film plus prometteur que celui des deux précédents, dumoins en ce qui concerne la timeline dite du Kelvin, car les vingt premières minutes du film de 2009 étaient pour moi très prometteuses en termes de maintien des acquis. Il m'a fallu bien du temps et de la réflexion a froid pour accepter que cette remise à jour aurait besoin de temps pour s'imposer comme une nouvelle trame acceptable, accepter que les tenants de la franchises aient finalement, par définition le droit de tout changer et surtout le devoir de le faire, pour s'adapter aux tendances cinématographiques actuelles pour pouvoir péreniser la Franchise. Imaginer un Motion Picture aujourd'hui relève de la folie, tant sur le rythme que sur le fond, si un thème pouvait tenir sur 2h30 en 1979, les messages de fond doivent être aujourd'hui abordés par touches, par le biais des personnages, au détour de l'intrigue, et non pas par des discours philosophiques. Et même, si comme moi, on aime la philosophie, il faut se faire à l'idée que le public qui ira voir Star Trek Sans Limite n'ira certainement pas pour y entendre une lithanie sur l'optimisme, l'espoir, le futur, mais pour y trouver un mélange d'action et de réflexion, une reflexion personnelle, non dictée, à la façon d'un cours magistral comme savait le faire le Capitaine Picard, mais un peu plus comme un TP, où chacun lit et apporte ce qu'il trouve de façon personnelle à mettre dans les cases que lui propose le scénario.

Et je suis de ceux qui disent que, sur ce plan, Simon Pegg a su donner, sans exagération, ces petits moments de sens, à défaut d'un grand message sous-jacent.Revenons au dérulement du film !

 

Chekov et l'extra-terrestre qui avait envoyé le fameux message de détresse ayant quitté la soucoupe juste avant Kirk, les trois protagonistes se retrouvent très vite sur le sol réunis et Kirk a tôt fait de la menacer de son phaser et de lui demander la vérité à propos de ses actes. Chekov essaie de tempérer Kirk et les arguments de leur compagnon d'infortune féminin, qui explique que Krall (dont elle révèle par la même occasion le nom) détient son équipage et qu'elle agissait sur ses odres afin de les maintenir en vie, finissent par convaincre James Kirk.  Au passage, maintenant équipée d'un uniforme, elle profite de la traduction simultanée. Encore du détail, mais j'aime les détails. On a donc le premier binome du film : Kirk/ Chekov.

A présent, nous découvrons la base de Krall, ses vaisseaux-essaim, ses installations. Tous les survivants de la destruction de l'Enterprise sont prisonniers ou presque sur la base ennemie, une instalation un peu brinquebalante, au ilieu d'un paysage rocheux aride, parsemé de grottes et de batiments aux formes presque organiques.Uhura, qui s'était retrouvée avec Krall lors de la séparation du pylone central et de la soucoupe est interogée par ce dernier. Le fait qu'il maitrise la langue d'Uhura la rend curieuse, il repond juste qu'il connaît notre espèce. Il semble persuadé être dans son droit et la discussion est ferme. Il s'interroge sur le dévouement de l'équipage envers Kirk et elle lui répond que ce dévouement est réciproque. Cette affirmation semble le rendre perplexe.

 

Maintenant, le duo qui nous préoccupe est celui formé par Bones et Spock. Ayant pris le contrôle du vaisseau qui les avait abordés dans le tubolift, ils se sont posés en catastrophe et Spock est blessé. A peine extraits de l'apave, ils commencent à se chercher sur des détails, Bones declare à Spock qui a un morceau de carlingue planté dans le ventre qu'il doit se détendre mais spock retorque que le ton meme de la voix du médecin lui indique que son cas est grave ! Pratiquant une suture a chaud en utilisant la ruse, Bones finit par cotériser la plaie de Spock qui peut à peine marcher. Ils devront pourtant quitter le défilé où is se sont echoués, car ils sont à découvert. C'est notre deuxième binome.Scotty est descendu de son pic rocheux !

Il retrouve l'épave de sa torpille et y cherche son communicateur, qui, évidement, n'a pas tenu le choc. Arrivent trois sbires (de Krall?) qui ne sont pas là pour discuter, même s'il tente, comme il l'avait fait dans le hangar du Vengeance, de les embrouiller par un discours convenu. Il est sauvé par Jaylah, une extra-terrestre aux capacités pugilistiques développées, profitant de quelques gadgets holographiques pour venir à bout de ses adversaires. La scène dans son ensemble est une peu simpliste mais les interactions entre Scott et Jaylah sont teintées d'humour et ma foi, pas désagréables.  Jaylah semble reconnaître l'insigne de Starfleet, parler notre langue et surtout s'y connaître en ingénérie. Voilà de quoi rapprocher ces deux-là...  Voilà donc le troisième binome.

Retour sur Kirk et Chekov. Accompagnés de leur guide def ortune, ils approchent de l'épave de la soucoupe de l'Enterprise. Leur hôte les laissent à leur contemplation à la fois nostalgique et vengeresse du spectacle terrible de la grand oiseau argenté humilé et battu.

 

Bones et Spock progessant avec difficulté, ils trouvent refuge dans ce qui semble etre un ancien temple à l'adanbon, sur le plafond duquel Spock remarque des symboles qui lui sont familiers, puisqu'il les avait observés sur l'artefact que lui avait confié Kirk à son retour de mission diplomatique ratée.Scott et Jaylah sont arrivés dans le repère de celle-ci. En apparence une grotte mais à l'intérieur, Scott découvre vite un univers familier, il s'agit d'un vaisseau ! A la question « est-ce que c'est vôtre vaisseau ? » Jaylah lui rétorque « Non, Montgommery Scotty, c'est le vôtre !! » éclairant  une plaque technique arborant les mentions USS FRANKLIN Starleet registery NX 326 et l'insigne de Starfleet, expliquant qu'elel l'ait reconnu sur l'uniforme de l'ingénieur.Le trio de Kirk pénètre à l'intérieur de la soucoupe en rune, malgré la présence des soldats de Krall.Dans les cachots de celui-ci Uhura a retrouvé Sulu, ils formeront le dernier binome. Grace a la salive corrosive de Keenser, le compagnon de Scott, ils arrivent a griller le systeme de verouillage de la porte de leur geole et cherchent a explorer le site pour comprendre les intentions de Krall et eventuellement liberer les prisonniers . Ils découvrent que Krall a récupéré les doées de naviation de l'enterprise et qu'il projette d'attaquer Yorktown. Sulu est d'autant plus concerné que son compagnon et sa fille y résident. Mais ils sont pris sur le fait.Pendant ce temps Kirk et Chekov explorent les corridors de l'Enterprise . Kirk se sépared e Chekov et on commence à se demander pourquoi il sont revenus sur les lieux. La réponse arrive vite, Kirk fait semblant d'avoir retrouvé l'endroit ou il a caché l'artefact et l'extra-terrestre lui assen un coup de pied violent et se saisit de son phaseur. Elle ouvre le compartiment, mais celui-ci est vide ! Chekov la somme de la cher son arme, il les suivait de près. Elel se dévoile enfin, elle travaille pour Krall ! S'en suit une course poursuite assez impressionnante dans les corridors sans dessus dessous de la soucoupe et pour semer leurs assaillants, Chekov fera preuve d'ingeniosté en récativant les propulseurs d'altitude qui finiront par retourner la soucoupe d'où lui et Kirk s'écahapperont in extremis en passant au travers de la fenêtre de la passerelle, et qui ecrasera, alors qu'elle semblait rallier leur cause, la fausse victime de Krall.Krall qui lui fait visiter une de ses installation a notre duo d'évadés, Uhura et Sulu, leur tenant un discours sur la faiblesse de la Fédartion, confirmant ses intentions de détruire Yorktown et surtotu faisant une démonstration terrifiante d'une de ses machines, lui permettant visiblement d'absorber l'energie des corps de ses victimes ais aussi, par un phénomène inconnu, d'en absorber les caracteristiques genetiques, se traduisant par le changement de morphologie de Krall, passant de reptilien à presque humain, avant de reprendre sa forme précédente.Retour sur Bones et Spock. Spock ayant pris un peu de repos, discute avec son compagnon et lui apprend la omrt de l'Ambassadeur Spock. S'en suit une discussion entre les deux personnages « Je ne comprends pas le sens que peut avoir la peur de la mort..La mort est une issue logique » dit Spock et Mac Coy de répondre : « La peur de la mort, c'est ce qui nous maintient en vie ! » On dsent une vraie émotion encore chez Quinto, ce qui ne dénature pas le personnage, Spock étant à demi humain… Spock annonce à Mac oy son intention de quitter Starfllet pour prendrele relai de son double pour mener la reconstruction de la société Vulcaine sur leur nouvelle planète d'accueil.Kirk et Chekov, quant à eux, progressent et finissent par tomber dans un piège gazeux qui les fige sur place. La scène où Jaylah et Scott les libèrent est assez drôle, sans tomber dans aucun eccès. En effet c'est un piège tendu par Jaylah pour sécuriser le périmètre autour de son vaisseau camouflé. Les deux binomes vont donc se joindre pour combiner leurs efforts. Leur nouvel objectif ? Remettre le Franklin à flots, Revenons sur le vaisseau en question, Plusieurs interrrogations se poseront à son sujet. En effet, Scott le présente comme le premier vaisseau humain a avoir atteint Warp 4, dans les années 2160. Or, dans la série Enterprise, le NX 01 est le premier Warp 5 ! Dès lors, puisqe la timeline n'a pas été modifié à l'époque d'Enterprise, comment expliquer une numéro de registre supérieur pour un vaisseau antérieur, puisque le Franklin est immatriculé NX 326 ? Voici l'explication : Le Franklin était effectivement un prototype antérieur au NX01 mais il étaitt affecté au MACO, non à la flotte. Après la crise Xindi et la Formation de la Fédération, le vaisseau a été réaffecté à Starfleet mais a gardé son numéro de registre antérieur 326 qui ne correspondait pas à la classification de Starfleet. Il a été affecté du préfixe NX pour preserver le fait que c'était le premier de sa lignée, comme le NX01 ou plus tard le NX2000 Excelsior (qui lui, en abandonnant la transdistortion, reprendra une dénomination NCC, ayant perdu son statut de précurseur) D'autres questions viendront plus tard. Il semblerait qu'il ait été porté disparu durant la Guerre Romulienne mais le sort de son équipage restât inconnu depuis. Faisant le tour du vaisseau, ils tombent sur les livres de bord et sur une antique moto stockée là, avec un imbroglio de matériels désuets ou fonctionnant à peine. Scott présente Jaylha comme un petit génie ayant déjà bien avancé dans les travaux de remise en état du vaisseau. Désactivant temporairement le camouflage, on découvre enfin ce vaisseau, clairement apparenté à l'Enterprise de la série éponyme.Nous sommes à la moitié du chemin, il est temps que l'action se dévoile enfin.Faisant le point sur les systèmes du Franklin, Chekov detecte une transmission de Starfleet, il s'agit des appels incessants de Bones, qui cherche depuis le début à joindre des membres de l'équipage survivants. Scott dit avoir une solution pour les rapatrier mais qu'i lui faut l'autorisation du Capitaine car il hésiterait à l'utiliser sur lui-même. En effet, le téléporteur est plus un objet utilitaire utilisé pour les marchandises à l'époque d'Enterprise qu'un moyen de transport efficient pour les personnes. Ils l'utiliseront toutefois, donnant lieu à la très bonne scène de téléportation de Spock au moment ou Bones lui avoue être finalement rassuré de ne pas mourir seul, vue dans le second trailer. Scott s'attirera aussi les foudres du médecin quand il sera lui-même téléporté. Spock recevra enfin des soins plus appropriés (même s'il ne loupe pas une ocasion de couvrir le médecin de petits sarcasmes) sur le Franklin et il ne manquera plus qu'un binome à récupérer pour reformer l'équipage de la passerelle au complet. Je note à ce sujet, que Chekov a pu êtrevéritablement au coeur de l'action, en l'associant à Kirk, sortant du schéma Kirk/Spock ou Kirk/Bones, et surtout du shéma Chekov/Sulu, comme cela avait été fait dans Retour sur Terre, en combinant Chekov et Uhura. Anton Yelchin aura livré une belle performance pour ce personnage qui, avouons-le, a rarement eu le beau rôle dans la Saga.Krall, qui est toujours en quête de son artefact, étudie le personnage de Kirk et finit par trouver une faille : L'empathie que chaque membre d'équipage semble développer pour ses camarades. Si l'un deux sait quelquechose, sous la menace d'en éiminer un ou plusieurs, il finira par parler. Krall met son plan à éxecution et s'en prend à Sulu. La tactique orte ses fruits puisque l'officier à qui Kirk avait demandé son aide au moment de l'attaque finit par dévoiler la cachette de l'artefact : Il était caché sur elle, dans une partie non visible de son crâne, protégée par des doigts articulés, Krall jubile ! « Votre unité n'est as votre force, c'est votre faiblesse ! »A bord du Franklin, toujours cloué au sol, le débat fait rage. Kirk veut absolument localiser son équipage mais la méthode lui échappe. Spock demande alors à Chekov de localiserne anomalie geologique : la pierre que porte Uhura ! D'origine vulcaine, elle sera facilement repérable sur cette planète. Bones le mettra bien mal à l'aise en insinuant qu'il pouvait donc se servir de cette pierre pour la « surveiller », ce que réfutera bien évidemment le Vulcain. La localisation est efficace mais Jaylha se refuse à retourner à cet endroit où tant de ses amis ont trouvé la mort. Il faudra toute la persuasion de son nouvel ami Scotty pour la convaincre de les aider. Sa connaissance des lieux sera un véritable atout pour l'équipage.On apprend enfin le but de Krall. L'artefact fait partie d'un ensemble constituant une arme de destruction massive que les natifs de cette planete avaient mise au point et qu'ils ont decidé de démanteler en éparpillant ces composant dans le vide interstellaire. Krall vise à reconstruire cette arme et à l'utiliser, pour imposer sa conception d'une société forte et guerrière, fac aux idéaux de la Fédération qu'il semble si bien connaître et pourtant detester. Il s'isole d'abord avec Uhura et l'officier qui avait dissimulé l'artefact, puis l'isole seule et lance le processus qui la désintègre littéralement. Uhura est horrifiée et impuissante. Krall commence a se devoiler « le monde dans lequel nous vivions était bien différent du votre, lieutenant, nous allions de l'avant, nos n'avions ni l'unité ni le confort de votre Fédération, c'est cela la Fédération ! »S'en suit une scène d'action assez rondement menée, aboutissant à la libération des prisonniers, durant laquelle Kirk utilise la moto et tous les gadgets de Jaylha, poursuites, bagarres, tout y est, Krall libère son essaim, direction Yorktown et le Franklin sert de refuge aux prisonniers libérés. Une fois cette tache accomplie, il va falloir poursuivre Krall et l'empêcher de déclencher son arme au coeur de la station ! L'équipage va donc s'employer à dégager le franklin de sa gangue rocheuse. Son décollage donnera lieu à une  scène vertigineuse et a la limite du crédible mais elle dsera suivi sd'un court mais magnifique moment où Jaylah, apercevant par le fenestron arriere cette planete où elle était seule et prisonnière s'éloigner, malgré le fait qu'elle sache qu'elle risque de mourir a tout moment, pousse un soupir de soulagement, allant jusqu'à détacher sa...ceinture ! Maintenant que l'on a un apperçu global du Franklin, se pose une nouvelle question qui m'avait tout de suite  posé problème lorsque je l'avais aperçu sur une publication web… Mais où est son bon dieu de déflecteur ? Et bien, après avoir posé la question et regardé en arrière, je me suis rendu compte que cette caractéristique n'était pas exceptionnelle. En effet, le Stargazer, le Reliant ou le Grissom était eux-même dépourvus de cet équipement extérieur. Gageons qu'une technologie différente est utilisée sur ces astronefs pour dévier les poussières et débris cosmiques.La suite du film n'est que poursuites et affrontements, on retrouve la scène de la vague, où le Franklin délenche une réaction en chaine en venant surfer sur le creux de la vague formé par l â€~essaim, semant le chaos dans une manœuvre necessitant une parfaite coordination et détruisant une grande partie de l'armada de Krall, puis une poursuite à l'intérieur même de Yorktown, servie par des effets spéciaux véritablement incroyables, alors que les scènes spatiales sont parfois frappées d'une noirceur qui limite l'appréciation du détail de l'essaim meurtrier, mais cela peut-être un parti-pris pour laisser toujours planer le doute sur les intentions de la formation.Le Franklin finit par s'écraser et Uhura met à jor l'identité véritable de Krall. Il est le Capitaine du Franklin, abandonné à son sort sur cette planète depuis un siècle, ayant rendu la Fédération et son manque d'enthousiasme à le rechercher lui et son équipage, comme responsable de son malheur, affaiblie par sa diversité, rendue inapte à prendre des décisions rapides et opportunes, Krall aujuord'hui veut mettre fin à cette « tyrannie du bien », On assiste alors au second affrontement entre lui et Kirk. A cette occasion ,Elba se défait enfin de son masque et de ses imlpants prothétiques pour nous donner un peu de jeu, autre que sa présence physique déjà certes imposante. Le personnage prend de la profondeur et le voir en uniforme de Starfleet rend le propos encore plus troublant. Il fait son historique, combat contre les Xindiis, les Romuliens,t out ca opur finir sur une sombre planete où lui et son équipage, ou dumoins ce qu'il en restait, ont du survivre par des moyens parfois inavouables. Kirk éprouve presque de l'empathie, Krall comptait bien là-dessus et il saisit la première occasion pour fuir et mettre son projet à execution, On assiste aors a des combats en apesenteur, encore et touours le vertige, décidémént un compagnon au long cours pour le spectateur, mais un vertige à la fois troublant et nous rappelant qu'on est dans l'espace, où il n'y a ni haut, ni bas, plus aucun repère que ceux que l'on se fixe artificiellement.Finallement, Krall refusant un sursaut de sa propre humanité, en voyant son reflet dans un débris de verre flottant, tentera d'abattre Kirk dans le dos mais sera détruit par sa propre création, aspiré dans le vide stellaire et Kirk ne devra son salut qu'à la maitrise de Bones et Spock qui ont appris à manoeuvrer les vaisseaux de l'essaim lors de l'abordage de l'Enterprise. Krall se désintégrera dans le vide et ne subsistera de lui que son insigne de Satrfleet comme si son destin, finalement n'avait jamais pu le détacher de ce pourquoi il s'était tant battu dans le passé lorsqu'i s'appellait encore Baltahzar Edison. L'Amiral Paris fermera définitivement les dossiers des memebres de l'équipage du Franklin que Starfleet avait laissé en suspens et non clos, contrairement à ce que pensait certainement Krall.Kirk refusera sa promotion au rang de Vice-Amiral.Spock ayant reçu les effets personnels de l'Ambassadeur Spock, il les parcourt religieusement et tombe sur une photographie de l'équipage au complet de l'Enterprise de l'Univers d'Origine. ( une photo tirée d'une représentation publique lors de la promotion de Star Trek l'Ultime Frontière. Le plan court de Quinto à Nimoy, puis Takei, Koenig, Shatner, Doohan, Kelley et Nichols. Peut-être prend il la mesure de l'importance de ces personnes et reviendra-t-il sur sa décision de quitter Starfleet ? Certains argueront que c'était â€~occasion rêvée pour un caméo de Shatner, mais cet hommage, bien plus sobre et complet, semble tout aussi adéquat. La scène suivante nous ameène a la petite surprise préparée par l â€~équipage pour l'anniversaire de Kirk. Rien à voir ici avec la scène intimiste de Star Trek A la Recherche de Spock. On trouvera tout de mêlme un écho à la scène de Star Trek Nemesis, quand Kirk porte un toast « aux amis absents » et on retrouvera le facétieux chekov, expliquant que le whisky fut nventé par hasard par une vieille Dame Russe.On finit en beauté, sur l'assemblage du fameux vaisseau dont l'Amiral parlait lors de l'arrivée de Kirk sur Yorktown. De mêm classe que l'Enterprise, mêm assez différent,il possède une caractéristique intéressante, un module de soucoupe dont l'arrimage est  semblable à celui, bien connu de l'Enterprise D de la série The Next Generation. Pour l'occasion, il a été certainement débaptisé et porte fièrement le matricule NCC1701-A USS ENTERPRISE. Jaylah sera surement un membre permanent de la suite annoncée, dont on connaît peut-être déjà quelques carateristiques. En effet, si Quinto et Pine ont déjà un contrat pour la suite, il n'en est pas demême pour tous leurs camarades, et le fait de les avoir fait interagir de façon séparée et différente augure peut-être d'un équipage différent sur le prochain opus, Anton Yelchin sera de toute façon le grand absent et sa disparition a visiblement bouleversé cette équipe, qui semble ne pas connaître les affres qu'avait connu, en son temps, l'équipage d'origine. Enfin, Paramount a nnoncé que Kirk rencontrerait son père dans le prochain film, ce qui ouvre déjà bien des spéculations sur le rétablissement ou pas de la time line d'origine.Au final, le film est un excellent divertissement et, contrairement au ton parfois de Into Darkness, assume complétement et son temps, et son origine. Bien sur, il a des défauts, et chacun ira de son argumentation pour l'encenser ou le démonter Sans Limite plus que ses deux prédecesseurs, aura sa place dans ma vidéothèque. En attendant Star Trek Discovery qui, elle aussi ne manquera pas de soulever le fandom.

News proposée par Djeewhy, le 26 Juillet 2016.

Dernière édition par Topaze, le 27 Juillet 2016.

 
 
DjeewhyHors Ligne Djeewhy,  le 13 Nov. 2016 à 14H15'
Irolaan, je comprends tes arguments, ceci étant posé, on peut apporter au crédit du film des idées générales qui faisaient défaut aux deux précédents. Le questionnement de Kirk sur la futilité de sa mission face à l'immensité de l'Univers, une première approche, enfin de sa mortalité, à l'évocation de la mort de son père et du fait qu'il l'ait dépassé en âge, les questionnements de Spock sur la vie, la mort et la logique et je vois tout de même en Krall un message sous-jacent qui traine depuis longtemps dans l'inconscient collectif américain mais que Star Trek n'avait pas abordé, celui de la condition des Soldats vétérans. Beaucoup de références aux films classiques mais bien moins appuyées ou anecdotiques que dans les deux films précédents. L'anniversaire de Kirk et le toast porté aux amis absents (qui avait déjà été repris dans Nemesis)prend ici un sens tout particulier et même si, encore une fois, l'action prime sur la réflexion, je classe ce film au dessus des autres deux niveau Trek. D'ailleurs ses résultats commerciaux sont "décevants", preuve peut-être qu'il n'était pas aussi commercial que cela...
IrolaanHors Ligne Irolaan,  le 11 Oct. 2016 à 06H55'
Ben moi! J'ai détesté! Trop d'idées ont été piochées dans d'autres productions!
Pour moi Star Trek est terminé depuis la fin de Enterprise en 2005. Maintenant ce sont simplement des films SF/action de piètre qualité, mais peut-être que Discovery aura d'autres bases que ces 3 navets. Bref, une simple pompe à fric!
Il faut que la Paramount se réveilles un peu et qu'elle rétablisse la dérive de ces films. Star Trek était une grande œuvre qui prônait l'exploration, l'amélioration de soi et de la société. L'équipage de l'Enterprise ne réfléchis plus, il fonce dans le tas!
Bon, c'est mon avis!
DjeewhyHors Ligne Djeewhy,  le 15 Août 2016 à 12H34'
Comme souvent avec Star Trek la VF est approximative. Le pire? L'USS Franklin est présenté en VO comme le premier vaisseau à avoir atteint WARP 4, en VF cela devient WARP 2, ce qui montre la légéreté portée à ces VF comme le DORMIRION en lieu et place du DOMINION dans NEMESIS. La 3D n'apporte pas grand chose au film, sauf les scènes d'arrivée sur Yorktown, véritablement impressionnantes, mais met un flou désagréable sur les scènes d'action rapide.

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