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Rédaction

Fiche rédigée par Topaze, le 04 Août 2007.

Diaporama Episode ″Trente jours″
TRENTE JOURS
Titre original:Thirty Days
Num. production:ST:VOY-202
Prem. Diffusion US:09 Déc. 1998
Saison:5
Disque DVD:5-3
Référenciel:5/9
Episode Num.:103
 
Histoire:Scott Miller
Scénario:Kenneth Biller
Réalisation:Winrich Kolbe
 
Distribution :
Willie Garson...Riga
Benjamin Livingston...Burkus
Alissa Kramer...Jenny Delaney
Heidi Kramer...Megan Delaney
Warren Munson...Amiral Owen Paris
Dans une cellule du Voyager, Paris écrit une lettre à son père dans laquelle il tente d'expliquer pourquoi il a été rétrogradé au rang d'enseigne (au lieu de lieutenant) et pourquoi il a écopé de 30 jours d'arrêt.  Pour cela, il revient quelques jours en arrière.
Le Voyager arrive en vue d'un phénomène exceptionnel : une masse gigantesque d'eau, de la taille d'une planète, est en suspension dans l'espace.  Janeway envoie un message vers cette masse d'eau et assure ses habitants, les Monéens, et leur chef, Burkus, que le Voyager et son équipage ne leur veut aucun mal.  Burkus et Riga, une scientifique, sont téléportés à bord du vaisseau de la Fédération.  Burkus explique que son peuple vit dans l'Océan, exploitant la végétation sous-marine et extrayant l'oxygène de l'eau.  Malheureusement, depuis quelques décennies, l'Océan perd sa cohésion et la masse d'eau diminue.  Les Monéens ne savent pas d'où vient le problème, ni comment le résoudre.  Accompagné de Riga, Paris se propose de prendre la Navette Delta pour enquêter sur le phénomène et Janeway donne son autorisation.  Pendant ce temps, l'équipage de Starfleet effectue une simulation de l'évolution du phénomène en fonction des données disponibles et le capitaine présente ses conclusions alarmistes à Burkus : dans les cinq années à venir, l'Océan aura perdu la totalité de sa cohésion.

Pendant ce temps, au plus profond de l'Océan, Paris et Riga découvrent un ancien générateur de champ d'intégrité contrôlé par un ordinateur inactif.  Pour en savoir plus, Paris décide de télécharger un maximum de données de l'ordinateur, mais la navette est soudain attaquée par un énorme monstre marin.  La créature envoie des décharges électriques de forte puissance et parvient à créer une brèche dans la navette, qui commence à se remplir d'eau.  Paris met la créature en fuite en tirant avec les phaseurs de la navette et les deux occupants s'activent à colmater la voie d'eau.  Une fois la fuite réparée, Paris étudie les données téléchargées et il apprend qu'avant les Monéens, la masse d'eau était habitée par une civilisation très avancée.  Cette civilisation avait construit un immense réacteur qui utilisait un système de transfert kinétique pour agglomérer la masse d'eau autour du réacteur et former ainsi une "planète d'eau".  Paris détermine également que le réacteur n'est pour rien dans la récente perte de cohésion de l'Océan.  Les véritables responsables sont les opérations minières des Monéens.
Janeway est mise au courant des conclusions de Paris et elle propose à Burkus des solutions de remplacement qui éviteraient la multiplication des centrales d'extraction et de raffinage.  Etrangement, le leader Monéen ne semble pas enthousiaste et déclare simplement qu'il mettra cette proposition à l'étude dans le programme du prochain sous-comité.  Paris et Riga sont abattus par le manque de réactivité de Burkus et le lieutenant affirme qu'il est persuadé que le leader Monéen ne se rend compte ni de l'ampleur ni de l'imminence de la catastrophe.  Malgré tout, Janeway demande au lieutenant de rentrer et de ne rien faire de plus.  Elle invoque la Prime Directive interdisant à l'équipage de Starfleet d'interférer dans les affaires internes des autres civilisations.  Pourtant, Paris refuse d'abandonner et il propose de placer le gouvernement Monéen devant l'urgence de la situation en désactivant les centrales productrices d'oxygène.  Le lieutenant lance la navette en direction des centrales Monéennes.

A bord du Voyager, Janeway détecte immédiatement le changement de trajectoire de la Navette Delta et elle ordonne à Paris de revenir immédiatement.  Lorsque ce dernier refuse, elle ordonne de modifier une torpille du vaisseau pour qu'elle puisse servir de charge explosive sous-marine capable de stopper la Navette Delta.  Pendant ce temps, Paris et Riga ont atteint le parc des centrales à oxygène.  Au moment où ils tirent un missile sur les centrales, le Voyager tire sa torpille modifiée.  Celle-ci explose près de la Navette Delta, déviant le missile et neutralisant la navette.  Un peu plus tard, la navette est ramenée à bord du Voyager et Paris est mis aux arrêts.  Il est placé en cellule pour 30 jours et rétrogradé au grade d'enseigne.  Riga, elle, est emmenée sur sa planète pour être jugée.
Dans sa cellule, Paris termine sa lettre et la joint à son carnet de bord personnel, spécifiant qu'elle devra être envoyée la prochaine fois que le Voyager sera à portée de communication de la Fédération.
BuckarooHors Ligne Buckaroo,  le 15 Jan. 2009 à 00H30'
Voilà bien un épisode typique de Voyager qui fait que la série est considérée comme stupide par la majorité des fans US et dans pareil cas, je leur donne raison.

C'est pas dans l'histoire en elle même, le message écologique et la magnifique planète océan. Ca fonctionne correctement.

Non, ce qui est stupide et crispant, c'est ce qui arrive à Tom Paris dans cet épisode. Thirty Days détruit à mes yeux le personnage et entame la crédibilité de Katryn Janeway à commander un vaisseau stellaire.

Bon, je sais que les fans de Voyager (et d'Enterprise) ont une vision étriquée de qu'est réellement un officier de Starfleet, de que cela signifie de porter l'uniforme, et la puissance de l'engagement, le sens du devoir que cela implique.

Ce que fait Tom Paris dans cet épisode est impardonnable et pour ainsi dire pas cher payer !
On ne trahit pas l'uniforme impunément comme il le fait, et pire on ne passe pas au dessus de son capitaine et commandant, même pour la plus noble des raisons. Car d'une façon ou d'une autre vous avez tort. Ils (les capitaines) sont vos supérieurs parce que ces gens ont des capacités et des responsabilités qu'eux seule peuvent assumer et pas vous.
De leur décisions, peuvent mettre en péril ou sauver des vies. Ils ont la responsabilité d'une centaine de personne, voir à plus grand échelle,de la pérennité ou le déclin de la Fédération entre leur mains.

Tom ne trahit pas seulement l'uniforme, mais aussi_ Ce qui est pitoyable à mes yeux, Kathryn Janeway qui lui avait offert une seconde chance de se racheter et y avait réussit) .

Dés lors comment après Thirty Days, refaire confiance à Tom Paris ? Puisse qu'il n'en est pas à sa première trahison. Comment même pour l'équipage et ses co-équipiers faire confiance à ce type avec un sens du devoir aussi fluctuant ?
Parce ce qu'en violant ainsi la Prime Directive, Tom Paris prends le risque de rentrer en conflit avec une espèce inconnue et menace par la même la vie de ses co-équipiers.

De toute manière, Tom Paris a tort sur tout la ligne dans cet épisode, même si il a beau se convaincre de ses bons droits. Elles sont en réalité puérile et Janeway avait raison. On ne peut pas obligé un peuple à sauver leur propre planète, si ils n'ont aucune conscience du danger. Les mesures que prend Paris, s'assimile très vite à du terrorisme. Combien même fait il exploser les raffineries d'oxygène de la planète, qui lui dit que le peuple de celle ci ne va pas les réparer et en construire d'autre ?

30 jours de tôle, rétrogradé au grade d' Enseigne, c'est pas cher payé.. On peut plus faire confiance à Tom Paris. Dans l'épisode suivant, il se trouve à la timonerie et 2 ans plus tard retrouve son grade de Lieutenant, au détriment de toutes règles hiérarchiques et militaire ! Notez que pendant ce temps, Harry Kim plus exemplaire que lui stagne toujours en grade d'enseigne !

Non ! Moi à la place de Janeway, dans la situation difficile ou je suis, je ne peux pas me permettre qu'un officier passe au dessus de moi (comme faire l'épisode Prime Factors) pour assurer ses propres idéaux. En plus un type que j'ai sorti du bourbier et qui me plante un couteau dans le dos pour me remercier.
Non merci! Avec moi, Tom Paris n'aurait plus jamais fait partie du staff des officiers supérieurs, Jamais il n'aurait retrouver la timonerie, je l'aurai coller dans les cales du vaisseau à nettoyer les injecteurs plasmiques !... Et chance pour lui que nous sommes perdus dans le Quadrant Delta, parce qu'avec moi jamais il n'aurait porté l'uniforme à nouveau!

Commentaires

1 Commentaire

Posté par Buckaroo, le 15 Janvier 2009.

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